Faire tenir la danse entre des corps aimant en trois vers et trois levers de pinceaux.
Evoquer le désir et le laisser s’écrire sous la forme d’un érotisme à fleur de mots.
Habiter l’évènement qui nous traverse le temps d’un haïku et goûter la saveur de l’instant qui disparait dans le trait de l’encre indélébile.
Voici donc une exposition accompagnée d’un recueil de poèmes sur l’amour, le sexe, et avant tout sur la joie renouvelée, toujours surprenante de la rencontre avec l’autre.
Vincent Massart, Haïkus
Olivier Luge, Encres
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